1948- Cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Wembley (la Princesse Elizabeth et le Roi George VI sont présents).
« Au stade de Wembley, la cérémonie d’ ouverture des 14ème Olympiades Modernes s’est déroulée dans une atmosphère d’enthousiasme et de grande solidarité sportive internationale.
Les athlètes de 58 nations défilent devant la Tribune Royale…
L’ équipe belge, dans laquelle nous reconnaissons Pol Braeckman et Gaston Reiff…
Les japonais, comme les allemands d’ailleurs, n’ont pas été admis à participer aux jeux. la Russie, elle, s’est désistée volontairement.
Pendant cette quinzaine, ici à Wembley, dans cette Angleterre qui symbolise mieux encore aujourd’hui la résistance de l’esprit et le développement de la volonté et du courage, 6.000 athlètes, venus des quatre coins du monde, vont se livrer à ces joutes pacifiques, dominés par une seule ambition : la recherche de la beauté, de l’équilibre physique, de la puissance et de la santé.
C’est maintenant l’ouverture solennelle :
Au milieu d’un silence religieux, Sa Majesté George VI prononce les paroles rituelles « »Les 14èmes Olympiades sont ouvertes » ».
82.000 personnes acclament maintenant le Drapeau Olympique, symbole de l’entente des peuples et son message de confiance sera porté dans le monde entier.
La flamme olympique arrive enfin au terme de son voyage de 13.000 miles, à travers plaines, forêts, montagnes, où, depuis le Temple de Zeus, elle a rappelé aux foules massées sur son passage les mots du Cardinal MERCIER : « »Les exercices du stade ne sont pas des jeux vaniteux et stériles, ils sont une école, une école d’éducation sociale à l’intention des nations civilisées » ». »
« Au stade de Wembley, la cérémonie d’ ouverture des 14ème Olympiades Modernes s’est déroulée dans une atmosphère d’enthousiasme et de grande solidarité sportive internationale.
Les athlètes de 58 nations défilent devant la Tribune Royale…
L’ équipe belge, dans laquelle nous reconnaissons Pol Braeckman et Gaston Reiff…
Les japonais, comme les allemands d’ailleurs, n’ont pas été admis à participer aux jeux. la Russie, elle, s’est désistée volontairement.
Pendant cette quinzaine, ici à Wembley, dans cette Angleterre qui symbolise mieux encore aujourd’hui la résistance de l’esprit et le développement de la volonté et du courage, 6.000 athlètes, venus des quatre coins du monde, vont se livrer à ces joutes pacifiques, dominés par une seule ambition : la recherche de la beauté, de l’équilibre physique, de la puissance et de la santé.
C’est maintenant l’ouverture solennelle :
Au milieu d’un silence religieux, Sa Majesté George VI prononce les paroles rituelles « »Les 14èmes Olympiades sont ouvertes » ».
82.000 personnes acclament maintenant le Drapeau Olympique, symbole de l’entente des peuples et son message de confiance sera porté dans le monde entier.
La flamme olympique arrive enfin au terme de son voyage de 13.000 miles, à travers plaines, forêts, montagnes, où, depuis le Temple de Zeus, elle a rappelé aux foules massées sur son passage les mots du Cardinal MERCIER : « »Les exercices du stade ne sont pas des jeux vaniteux et stériles, ils sont une école, une école d’éducation sociale à l’intention des nations civilisées » ». »
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