1951- Corée : Les Marines rembarquent à Hungnam.
Le dernier point d’appui des Nations Unies en Corée du Nord, HUNGNAM, est tombé. Mais ce ne fut qu’après un repli tactique d’une perfection inégalée dans l’histoire militaire…La huitième armée s’est dégagée avec l’aide héroïque de la brigade ottomane, et pendant deux semaines, ce fut une épopée de courage et d’endurance, qui ramena au port d’embarquement les troupes des Nations Unies. Tout au long des cents kilomètres du repli, rendu d’autant plus périlleux par la nature sinueuse des routes, les combats de flanc-garde se poursuivaient sans trève. En dépit des embuscades et du froid terrible, les Alliés, en retraite, infligèrent à l’ennemi de lourdes pertes, et firent d’innombrables prisonniers. Les Chinois, eux-aussi souffrent de l’hiver coréen. Ce soldat communiste, dont la main ne peut saisir une coupe, apprend la charité d’un des nôtres. Mais nous aurons, aussi, une idée des épouvan
Le dernier point d’appui des Nations Unies en Corée du Nord, HUNGNAM, est tombé. Mais ce ne fut qu’après un repli tactique d’une perfection inégalée dans l’histoire militaire…La huitième armée s’est dégagée avec l’aide héroïque de la brigade ottomane, et pendant deux semaines, ce fut une épopée de courage et d’endurance, qui ramena au port d’embarquement les troupes des Nations Unies. Tout au long des cents kilomètres du repli, rendu d’autant plus périlleux par la nature sinueuse des routes, les combats de flanc-garde se poursuivaient sans trève. En dépit des embuscades et du froid terrible, les Alliés, en retraite, infligèrent à l’ennemi de lourdes pertes, et firent d’innombrables prisonniers. Les Chinois, eux-aussi souffrent de l’hiver coréen. Ce soldat communiste, dont la main ne peut saisir une coupe, apprend la charité d’un des nôtres. Mais nous aurons, aussi, une idée des épouvan
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