1952- Vichinsky accuse les É.-U. d’espionnage devant la Commission politique de l’ONU.
Devant la Commission politique des Nations Unies, à Paris, le délégué de l’Union Soviétique, M. Vychinski prend à parti le gouvernement des États-Unis qui, selon ses termes, se livre à des activités agressives et à une ingérence dans les affaires intérieures des pays au delà du rideau de fer, par l’application de la loi dite « de sécurité mutuelle ». M. Mansfield, au nom de la délégation américaine, rejette l’interprétation de M. Vychinski en soulignant que cette législation, loin de poursuivre le but incriminé est conforme à l’esprit de la Charte des Nations Unies. Peu après, le Conseil de Sécurité devait examiner la question de l’admission de l’Italie parmi les Nations Membres de l’ONU. Participant déjà au Pacte Atlantique, l’Italie avait vu sa candidature acceptée par l’assemblée générale. À une large majorité, et à l’encontre d’un amendement soviétique, le Conseil de Sécurité a recomma
Devant la Commission politique des Nations Unies, à Paris, le délégué de l’Union Soviétique, M. Vychinski prend à parti le gouvernement des États-Unis qui, selon ses termes, se livre à des activités agressives et à une ingérence dans les affaires intérieures des pays au delà du rideau de fer, par l’application de la loi dite « de sécurité mutuelle ». M. Mansfield, au nom de la délégation américaine, rejette l’interprétation de M. Vychinski en soulignant que cette législation, loin de poursuivre le but incriminé est conforme à l’esprit de la Charte des Nations Unies. Peu après, le Conseil de Sécurité devait examiner la question de l’admission de l’Italie parmi les Nations Membres de l’ONU. Participant déjà au Pacte Atlantique, l’Italie avait vu sa candidature acceptée par l’assemblée générale. À une large majorité, et à l’encontre d’un amendement soviétique, le Conseil de Sécurité a recomma
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